« Adresser une injure sexiste à une femme publique, c'est insulter toutes les femmes. »

 

Et de même pour tous les hommes.

Défiant la censure, je ne lancerai pas ici dans un débat de fond trop approfondit (je pense que cela serait inconvenant sur ce site à vocation puéril et revendiqué clairement comme tel) mais je me contenterai –avec la participation de mon collègue Dominique le Batârd- de vous soumettre un point de vue quelque peu différent de ceux auxquels vous êtes habituées dans votre confort de féministes bourgeois et politiquement correct, sans vouloir aucunement vous offenser, et de vous donner une petite leçon d’ouverture d’esprit !

"On dit que la femme est profonde (parce qu’on arrive jamais au fond)... Mais en vérité la femme n’est même pas encore plate" .
-Nietzsche-

Tout d’abord, permettez moi d’objecter que dans votre quête perdue d’avance, vous partez de présupposés qui sont faux. Nous ne pouvons pas raisonnablement mettre l’homme et la femme à égalité. Outre les différences génétiques indéniables –tant sur le plan physique qu’intellectuel-, existent de grandes oppositions culturelles en grande partie résultantes de ces différences naturelles. Ce qu’il serait stupide de nier et que démontre très bien Schopenhauer :
« Considérer la femme comme l 'égale de l'homme, comme le fait la législation en Europe, c'est partir de présupposés qui sont faux. Dans nos régions monogamiques, se marier signifie perdre la moitie de ses droits et multiplier ses devoirs par deux. Encore faudrait-il que la loi, en fournissant aux femmes des droits égaux à ceux des hommes, fournisse aux femmes une aptitude à raisonner égale à celle des hommes. »


L’homme perd donc plus qu’il ne fait gagner à la femme dans cette simili fausse féminisation de la société que vous, féministes frustrées, ne faites que propager sans en englober les conséquences à long terme.
Les privilèges masculins, comme vous le dites, ne sont qu’une résultante du meilleur mode de fonctionnement de la société bâtit sur une longue expérience collective, depuis les premiers Penseurs Grecs jusqu’à nos jours, et ce en tenant compte des particularités naturelles inhérentes à l’être masculin et féminin. Si sachant cela vous tenez alors à juger la Nature de « machiste » ou « masculiniste » libre à vous, mais vous ne ferez que lancer un vain débat, tel Omphrière insultant les vents du haut des monts Parrhitée.

Vous n’analysez les évènements que sous la lumière de votre flambeau féministe, auquel vous vous raccrochez désespérément, tentant vainement d’expliquer et d’effacer tous vos échecs dus selon vous au soi-disant machisme de la société. Ce que vous faites, ce n’est que dénigrer stupidement certaines constantes de l’élément humain, en ridiculisant l’homme et en donnant une image erronée pour prouver sa prétendue stupidité, faute de n’avoir d’éléments probants et indiscutables pour étayer vos théories fumeuses.

Et je vous en supplie ! Ne citez pas Rousseau pour cacher le vide de vos propos après avoir lu deux pages de son discours de l’inégalité parmi les hommes ! Cela ne fait que confirmer cruellement votre manque évident de culture et de compétence dans les concepts philosophiques qui vous entourent. Et bien oui ! Ne vous en déplaise l’éducation des femmes est relative à l’éternel masculin !Je sais que la Vérité est souvent difficile à accepter mais elles est ainsi alors n’essayez pas de la détourner à votre profit ou de vous poser en victimes, vous n’y changerez rien.

Et au lieu de vous attaquer à un mur éternel et infranchissable, apprenez plutôt à reconnaître la supériorité de l’Homme sur la Femme, au sens noble du terme. Découvrez la beauté et le bonheur d’être femme au lieu de vouloir bêtement imiter l’homme et reproduire avec lui les mêmes erreurs que l’inexpérience à pu lui faire commettre dans des temps reculés et au lieu de vous poser en victimes d’un système qui ferait tout pour favoriser l’homme au détriment de la femme.


La place de l’homme et de la femme dans la société se trouve exactement dans l’ordre du monde : croyez-vous réellement que la femme puisse s’acquitter des tâches masculines et vice-versa, par une simple décision candide et contre-nature d’égalité entre les sexes ? Croyez-vous un instant qu’une femme ait la capacité de devenir maçon, routier ou pilote de l’air ? Il ne s’agit là aucunement d’une décision brusque, empirique et autoritaire mais je le répète, d’un phénomène qui s’est bâtit inconsciemment certes, mais avec l’appui de l’expérience, et surtout en tenant compte des particularités physiques de la femme, être inférieur sur de nombreux plans, ce qui naturellement la pousse à être dépendante vis à vis de l’homme. Idée là encore démontrée par Schopenhauer :
« La femme est par nature destinée à obéir. La meilleure preuve, c'est qu'à chaque fois qu'une femme se retrouve dans une position totalement indépendante, ce qui est contraire à sa nature, elle n'a de cesse de se trouver un homme pour la guider et la dominer, car elle a besoin d'un maître. »


« La femme exige et attend tout de l'homme. l'homme n'attend qu'une chose de la femme immédiatement et tout de suite. Il a donc fallu trouver l'institution qui autorise l'homme a exiger cette chose et qui permette à la femme en échange d'être entièrement prise en charge avec les enfants nés de leurs liaisons. »

Ceci-dit, il n’y a rien de désobligeant à l’accepter et rien n’empêche à l’homme d’aimer une femme malgré les différences que je viens d’énoncer qui les séparent même et surtout dans leur conception de l’amour. En effet ! Quoi de plus beau qu’une jeune fille dans la fleur de l’age –même si j’en conviens, cela ne dure pas longtemps-, et quoi de plus à même de provoquer l’extase chez l’homme qu’un beau minois bien sage et innocent ? L’Eros est donc (tout en étant fugace chez l’homme, son feu étant plus ardent son objet ne s’en consume que plus vite) le principal lien entre les deux sexes ; il serait donc stupide de le renier dans une stérile querelle due à une mauvaise interprétation de je ne sais quelles théories révisionnistes en sans avenir.

Je le clame donc tout haut en guise de conclusion : vive l’Amour et la Beauté, la tolérance et le respect des traditions ! Ou, résumé dans un style certes un peu plus Gaulois, mais tout aussi évocateur chantons tous en chœur :


« Vive les femmes et le bon vin ! »

J’espère que ce petit pamphlet n’aura pas choqué vos oreilles délicates et que vous ne nous en tiendrez pas trop rigueur.
Au plaisir donc de recevoir de votre part une réponse quelque peu argumentée qui contribuera à faire avancer ce débat passionnant disponible sur le forum de notre site Internet [www.clubdesamisdelaverite.fr.st], à savoir : « les femmes ont-elles le droit de philosopher ? »


Humblement, votre Serviteur


René Despinasse
Sous Directeur adjoint du Club des Amis de la Vérité.